URGENT Kamilya : les caméras prouvent qu’ils ont menti « elle n’a pas été…
DÉCÈS DE KAMILYA : DES IMAGES DE VIDÉOSURVEILLANCE DÉVOILÉES
« On peut voir la moto qui a son feu allumé, ce qui laisse à penser que la moto a ses deux-roues au sol », ont indiqué les policiers chargés de l’enquête. Ils indiquent ensuite que “le feu de la moto n’est plus visible”, précisant que le “guidon n’est plus dans l’axe de la roue arrière”. Un détail très important qui pourrait tout changer. Le suspect avait expliqué que la roue de sa moto s’était levée involontairement. Toutefois, ce mouvement pourrait être remis en question par les caméras de vidéosurveillance. Un second point est évoqué : la possibilité qu’il ait utilisé son téléphone portable en conduisant. Selon les policiers, le motard « semble regarder quelque chose car il baisse la tête et tenir un objet dans sa main gauche. Puis il baisse sa main en direction de sa jambe gauche”. Était-il concentré sur l’écran de son portable ? Une piste prise très au sérieux.
DÉCÈS DE KAMILYA : CET AUTRE ÉLÉMENT MIS EN AVANT PAR LES POLICIERS
Le suspect a, de son côté, rapidement expliqué que son téléphone ne se trouvait ni dans sa poche ni dans sa main mais sur un support situé sur le guidon de la moto. Un détail important puisque, si son téléphone se trouvait dans un autre endroit, cela pourrait expliquer la raison pour laquelle il n’aurait pas vu Kamilya et son frère traverser. Sur les images de vidéosurveillance, Matteo B. porte également un sac de livraison Uber Eats, compagnie pour laquelle il travaille. Celui-ci n’a toutefois pas été retrouvé sur les lieux.
Selon Matteo B., il aurait déposé l’objet par terre juste après l’accident. Il aurait précisé l’avoir utilisé de manière personnelle et n’avoir emporté que quelques affaires à l’intérieur. Cet élément est-il une preuve pouvant apporter des réponses aux proches de Kamilya ? Le principal suspect est sous contrôle judiciaire et mis en examen pour homicide involontaire par conducteur d’un véhicule terrestre à moteur et violation manifestement délibérée d’une obligation de sécurité ou de prudence. Il risque sept ans de prison.