Tristesse ce samedi : la fille de Jean-Marc Généreux (19 ans) ne se réveillera jamais après avoir été…

Le 20 février, Jean-Marc Généreux dévoile sa biographie intitulée Chaque pas est une leçon de vie. Quelques jours auparavant, le jeudi 13 février, le célèbre chorégraphe a partagé des révélations émouvantes sur son quotidien avec sa fille Francesca, atteinte du syndrome de Rett, dans les colonnes de Paris Match.

Jean-Marc Généreux retrouve une place centrale sous les projecteurs. Depuis le 7 février, le danseur de 62 ans a repris son rôle de juré dans la quatorzième saison de Danse avec les stars, diffusée sur TF1. Parallèlement, il s’apprête à publier son autobiographie, Chaque pas est une leçon de vie, aux éditions Leduc, le 20 février. Dans cet ouvrage, l’époux de France revient sur sa carrière, son intégration dans l’émission phare de TF1, mais aussi et surtout sur sa vie de famille. Le collègue de Chris Marques est père de deux enfants : un fils prénommé Jean-Francis, âgé de 28 ans, et une fille, Francesca, 26 ans, atteinte du syndrome de Rett. Cette maladie génétique rare, qui touche principalement les filles, entraîne un handicap mental et des troubles moteurs. À l’occasion de la sortie de son livre, Jean-Marc Généreux a ouvert son cœur sur son quotidien avec sa fille dans un entretien accordé à Paris Match ce jeudi 13 février.

Depuis que Francesca a été diagnostiquée à l’âge de 20 mois, Jean-Marc Généreux vit avec une douleur constante, celle de faire le deuil d’un enfant qui est toujours en vie. « C’est un déchirement de perdre un enfant qui est vivant », confie-t-il. Il explique que son objectif principal chaque jour est de faire sourire sa fille : « C’est la validation que la journée est belle, qu’elle est heureuse. On ne vit pour rien d’autre. » Aujourd’hui, Francesca est « enfermée dans un corps qui a cessé de grandir », et ses journées suivent une routine immuable. Au réveil, Jean-Marc et son épouse lui chantent ses chansons préférées, lui font sa toilette, puis le chorégraphe l’aide à marcher dans la maison. « Je compte les pas pour qu’elle en fasse un minimum chaque jour », raconte-t-il. Ensuite, Francesca prend son petit-déjeuner et ses médicaments, regarde des dessins animés, et ainsi de suite jusqu’au coucher, vers 20 heures. « À chaque fois que je la dépose dans son lit, elle me sourit. C’est comme si elle me disait : “Papa, ne sois pas triste, je vais être heureuse dans mes rêves” », partage-t-il, ému.