Jannah Theme License is not validated, Go to the theme options page to validate the license, You need a single license for each domain name.
BIEN ETRE

Oscar Jégou et Hugo Auradou libérés : la justice s’est trompée, la victime était…

Advertisment

“Il m’a déshabillée comme une brute”
Dans son témoignage, Soledad évoque le refus d’Hugo Auradou de la laisser partir avant de poursuivre : “Alors il m’a attrapé le cou. Il m’a mise sur le lit, Il m’a déshabillée comme une brute et il m’a tirée hors du lit alors que j’étais nue”. Toujours selon ses propos, le rugbyman se serait montré violent par la suite.

“Il m’a soulevée par le cou”
“Il m’a soulevée par le cou. A tel point que je n’avais plus d’oxygène”, a-t-elle poursuivi avant d’ajouter qu’elle aurait tenté de le faire réagir en le giflant. “Au lieu de l’arrêter, cette gifle l’a incité à continuer”, a-t-elle déclaré.

Oscar Jegou et Hugo Auradou : une version que tous deux contestent
La version de Soledad a été contestée par les principaux concernés. Selon leurs propos, les relations sexuelles, qui ont bien eu lieu, étaient consenties. Et concernant les traces mentionnées sur le corps de la plaignante, l’expert médico-légale aurait tenu des propos très différents.

Advertisment

Des faits qui n’ont pas pu se produire selon une experte
“Une experte médico- légale a dit, en lisant la déposition de la plaignante, qu’elle décrit des faits qui n’ont pas pu se produire”, a déclaré Maître Antoine Vey avant d’ajouter : “Il n’y a pas de bleu, de griffures et de morsure”.

Maître Antoine Vey : “Il n’y a pas un élément à charge”
Maître Antoine Vey était bien décidé à défendre ses clients. Face à l’équipe de l’émission, il affirme : “Il n’y a pas un élément à charge qui est revenu dans le dossier”. Anne-Elisabeth Lemoine précise : “A part la parole de la victime”. De quoi faire réagir l’avocat des deux joueurs. “Ce n’est pas un élément objectif” , assure-t-il avant de poursuivre : “Cette plaignante, qui n’est pas une victime, a dit qu’elle avait subi certaines violences”.

Des éléments qui confortent la parole des deux joueurs
Maître Antoine Vey a indiqué par la suite que les procureurs vont se baser “sur des éléments objectifs et ils ont dit que sa parole n’était pas suffisamment forte”. A l’inverse de celle de joueurs puisque tous deux ont apporté énormément d’éléments qui confortent leur version”.

Previous page 1 2 3 4Next page
Advertisment

Related Articles

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Back to top button