“On arrête là“ : Apolline de Malherbe incontrôlable face à un invité, elle quitte le plateau en plein direct, du jamais vu…
Très engagée dans sa carrière de journaliste et pleinement investie dans sa vie de mère de famille nombreuse, Apolline de Malherbe jongle avec un emploi du temps surchargé. Malgré ses responsabilités professionnelles et personnelles, elle trouve néanmoins des moyens de maintenir un équilibre, bien qu’elle doive parfois renoncer à certains plaisirs, comme elle l’a confié lors d’une interview pour Marie France.
Une carrière impressionnante mais exigeante
À 44 ans, Apolline de Malherbe peut être fière de son parcours. Elle est devenue une figure emblématique du paysage médiatique français, notamment grâce à sa matinale Apolline Matin sur RMC Story, qu’elle anime avec brio. Et ce n’est pas tout : à partir de janvier prochain, elle présentera un nouveau programme en prime time le dimanche soir, toujours sur la même chaîne.
Cependant, cette réussite professionnelle s’accompagne d’un rythme effréné. Dans son entretien avec Marie France, publié le 4 décembre, elle a partagé les coulisses de son quotidien : « Je travaille tout le temps. Je me lève chaque jour à 4 heures pour préparer et animer deux heures et demie de direct. J’adore ce métier, mais c’est énormément de pression… Il faut peser chaque mot, rester extrêmement attentive à ce que disent les invités, et dès que l’émission est terminée, je me plonge dans la préparation du lendemain : choix des sujets, écriture des questions… ».
Une maman bien occupée
En plus de son travail exigeant, Apolline de Malherbe est une maman dévouée à ses quatre enfants. Ses deux fils, nés en 2007 et 2010 de sa relation avec Alexis Morel, et ses deux plus jeunes enfants, issus de son union avec Harold Hauzy, dont Hannah, née en mars 2017, remplissent son quotidien de moments familiaux précieux, mais aussi de défis logistiques. Ce double rôle, entre carrière et maternité, laisse peu de place pour des moments de détente ou des loisirs personnels.
Un amour pour le cinéma contrarié
Parmi les sacrifices qu’elle a dû faire, le cinéma occupe une place particulière. « Comme je me couche tôt, j’ai perdu l’habitude d’aller au cinéma, et ça me manque », avoue-t-elle. Pourtant, elle a trouvé une astuce pour rester connectée à cet univers qu’elle aime tant : « J’ai une passion secrète : lire les critiques de films dans les journaux. J’attends le mercredi avec impatience pour les dévorer. »