Michel Drucker ruiné, sa maison de 293 mètres carrés partie en fumée…
réagit pour la première fois à une polémique autour d’une maison qu’il a fait édifier dans le sud de la France et dont le permis de construire vient d’être invalidé.
Michel Drucker, alias gentil Mimi, n’est pas un coutumier des polémiques sur son compte. Et pourtant, une affaire le poursuit depuis le mois d’avril dernier. Un dossier certes ordinaire pour bien de nos concitoyens mais qui a pris des proportions médiatiques de par la personnalité qu’il implique. Il s’agit du permis de construire d’une de ses maisons, déjà construite, dans le sud de la France, que le Conseil d’Etat vient d’invalider.
Michel Drucker voulait faire édifier une maison à Eygalières, dans les Bouches-du-Rhône. Et le maire lui avait accordé un permis de construire à Eygalières. Mais il vient d’être débouté par le Conseil d’Etat, puisque cette parcelle serait située dans une zone trop proche (340 mètres) d’un monument classé historique. ?La Ligue des Alpilles avait donc protesté, le projet de nouveau bâtiment n’étant pas situé à 500 mètres du monument, la distance minimale réglementaire.
Pour la première fois, Michel Drucker a réagi à cette affaire. Dans le quotidien Nice Matin de ce mardi, il clamer: ??”On nage en plein Pagnol et Clochemerle! Je résume: j’achète un terrain constructible, on m’accorde un permis. Pendant la construction, la Ligue de défense des Alpilles, en conflit avec le maire qui avait accordé le permis, lance une procédure. ?A présent je me retrouve avec une maison terminée mais dont le permis est suspendu. C’est surréaliste! ?Depuis un an je suis régulièrement diffamé par la Ligue de défense des Alpilles. Elle laisse entendre que mon permis est litigieux et, de surcroît, de complaisance. Je ne resterai pas inerte sur le plan juridique. ?Et pas question de détruire cette maison édifiée pour ma famille. D’ailleurs, si la situation devait évoluer déraisonnablement, je me retournerai contre l’Etat.”