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Mauvaise nouvelle pour le porte-monnaie des Français, François Bayrou annonce la couleur « il va falloir… »

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LES FINANCES DE LA FRANCE DANS LA TOURMENTE

La situation financière de la France est préoccupante, et les perspectives pour les semaines à venir ne laissent guère place à l’optimisme. La récente promulgation d’une « loi spéciale » ce week-end risque d’aggraver les difficultés des classes moyennes, comme l’a souligné l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

DES CHIFFRES QUI ALARMENT

Selon une étude publiée par l’OFCE, le déficit public de la France pourrait se situer entre 6,1 % et 6,4 % du PIB en 2025. Ces projections sont le reflet des politiques budgétaires controversées qui ont marqué ces derniers mois. L’ancien Premier ministre Michel Barnier avait initialement proposé un plan impliquant une réduction budgétaire équivalente à 1,5 point de PIB, répartie entre 0,9 point de nouveaux prélèvements obligatoires et 0,6 point d’efforts sur les dépenses publiques. Cependant, la mise en œuvre de cette politique a été largement entravée.

DES MESURES AMPUTÉES

Le rejet partiel de la loi de finances initialement présentée par Michel Barnier a réduit considérablement les ambitions en matière de prélèvements obligatoires. Les 27,1 milliards d’euros prévus ont été réduits à seulement 5,8 milliards d’euros, limitant ainsi les marges de manœuvre budgétaires du pays.

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LES CLASSES MOYENNES ENCORE FRAGILISÉES

L’OFCE estime que l’abandon de certaines mesures du projet de loi de finances pourrait sembler favorable aux ménages les plus aisés. Cependant, d’autres décisions, telles que le gel du barème de l’impôt sur le revenu et la fin progressive du bouclier tarifaire sur les prix de l’énergie, risquent de peser lourdement sur le pouvoir d’achat des classes moyennes. Ces ménages, déjà souvent qualifiés de « vaches à lait » des politiques fiscales, se retrouvent une fois de plus au centre des préoccupations.

UNE INSTABILITÉ POLITIQUE PERSISTANTE

Les incertitudes budgétaires s’accompagnent d’un climat politique tendu. L’actuel gouvernement, dirigé par Emmanuel Macron, souffre d’un manque de stabilité qui complique davantage la mise en place de mesures économiques efficaces. « Sans nouvelles initiatives, le déficit public pourrait atteindre entre 6,1 % et 6,4 % du PIB en 2025 », avertit l’OFCE, pointant du doigt l’urgence d’une action gouvernementale cohérente.

LE MÉCONTENTEMENT DES FRANÇAIS

Face à l’augmentation prévue des coûts de la vie en début d’année — notamment pour l’électricité et le gaz —, le ras-le-bol des Français est palpable. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes expriment leur frustration et leur exaspération :

  • « Les petites classes moyennes sont toujours les premières à payer, mais on ne leur rend jamais rien. »
  • « Si les élus faisaient partie des classes moyennes, peut-être comprendraient-ils enfin notre situation. »
  • « Rien ne change, et les gouvernements rappellent toujours les mêmes figures qui n’ont jamais fait leurs preuves. »

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