« Je n’ai jamais oublié… » : Jean-Jacques Goldman révèle avoir eu une relation secrète avec… les fans sous le choc.
UN PARCOURS DE VIE ENTRE SIMPLICITÉ ET DISCRÉTION
Jean-Jacques Goldman a toujours cultivé une image sobre et discrète, malgré son statut de star. Depuis qu’il a quitté les scènes musicales, il a choisi de se consacrer à sa vie privée et à sa famille. Après avoir vécu plusieurs années à Londres, où il pouvait se fondre dans l’anonymat, Goldman est revenu en France en 2021, s’installant à Marseille. Ce retour dans l’Hexagone n’est pas anodin : sa femme Nathalie, quadragénaire d’origine vietnamienne, est originaire de cette région.
Ensemble, le couple élève trois filles : Maya, née en 2004, Kimi, en 2005, et Rose, en 2007. La rencontre entre Jean-Jacques et Nathalie est digne d’un conte de fées. Elle était une fan de la première heure, assistant à ses concerts depuis les premiers rangs. De cette admiration est née une histoire d’amour, puis un mariage. Une relation qui témoigne une fois de plus de la simplicité et de l’authenticité de l’artiste.
Avant son mariage avec Nathalie, Jean-Jacques Goldman avait déjà une vie de famille bien remplie. Il a été marié à Catherine Morlet, avec qui il a eu trois enfants : Caroline, psychologue née en 1975, Michael, producteur et directeur de la Star Academy né en 1979, et Nina, née en 1985. Cet équilibre familial semble être au cœur de la vie de Jean-Jacques, qui privilégie aujourd’hui les moments partagés avec ses proches.
UNE POPULARITÉ INDÉBOULONNABLE
Malgré son retrait de la scène publique, Jean-Jacques Goldman reste une figure incontournable en France. Son aura dépasse largement le cadre musical, et il continue d’être élu “personnalité préférée des Français” dans de nombreux sondages. Ce statut unique repose sur son humilité, sa proximité avec le public et la puissance intemporelle de ses chansons.
Chaque rumeur d’un possible retour à la musique, chaque apparition publique, même anodine, suscite une effervescence médiatique et populaire. Cette popularité, loin de l’éloigner de ses valeurs, semble renforcer son désir de rester fidèle à lui-même. Son passage à Brest en est une nouvelle illustration : un moment simple et convivial, loin des strass et paillettes.