“Il était vivant“ : Émile retrouvé mort, la jardinière avoue tout à la police « je l’ai vu…
L’Affaire du Petit Émile : Un Nouveau Rebondissement
L’affaire du petit Émile, cet enfant de 2 ans et demi disparu le 8 juillet 2023 dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), connaît un nouveau tournant. Alors que le crâne et les ossements de l’enfant ont été découverts 9 mois après sa disparition, à quelques mètres en contrebas du hameau, de nouveaux éléments pourraient accélérer l’enquête. Les gendarmes se concentrent désormais sur une jardinière située près de la chapelle Saint-Martin, où des traces de sang auraient été détectées. Ces indices pourraient relancer l’enquête et rapprocher les enquêteurs de la vérité.
Les Grands Moyens Déployés pour Retrouver Émile
À l’été 2023, les gendarmes avaient déployé des moyens considérables pour retrouver le petit Émile. Hélicoptères, patrouilles militaires, équipes cynophiles… Malgré ces efforts, aucune trace de l’enfant n’avait été trouvée aux alentours du Vernet. La disparition d’Émile avait alors plongé la région dans l’inquiétude et suscité une mobilisation nationale.
La Jardinière au Cœur de l’Enquête
C’est dans ce contexte que la jardinière située près de la chapelle Saint-Martin est devenue un élément clé de l’enquête. Le 13 mars 2024, les enquêteurs de la brigade de recherches de Marseille se sont rendus sur place pour examiner cette jardinière, qui avait été installée près de l’édifice religieux. Selon des sources concordantes rapportées par BFMTV, cette jardinière pourrait contenir de nouveaux indices cruciaux pour l’enquête.
Des Traces de Sang Détectées : Un Indice Majeur
Les enquêteurs ont découvert des traces de sang sur la jardinière, un élément qui pourrait relancer l’affaire. « Une ou plusieurs traces éventuelles de sang ont été détectées », ont rapporté nos confrères. Ces traces pourraient permettre aux experts de déterminer si elles proviennent d’un être humain ou d’un animal. Si l’origine humaine est confirmée, des analyses ADN seront effectuées pour comparer ces traces aux deux profils génétiques inconnus retrouvés sur les vêtements et les ossements du petit Émile.
Les Experts à l’Œuvre
Les analyses de la jardinière se poursuivent actuellement à l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) à Pontoise. Les experts médico-légaux travaillent sans relâche pour déterminer l’origine des traces de sang et leur lien possible avec la disparition d’Émile. Ces analyses pourraient fournir des réponses cruciales et orienter l’enquête vers une piste privilégiée.
