Elle achète une salade chez Aldi et fait une horrible découverte « des traces de…
UNE ENQUÊTE EST EN COUR S
Ce produit artisanal, vendu lors de plusieurs événements en 2024, est désormais recherché dans toute la France. Les autorités appellent à détruire les bocaux en circulation, tandis qu’une enquête judiciaire et sanitaire est en cours pour confirmer l’origine de la contamination, ainsi que l’ont rappelé nos confrères du Monde.
UN PRODUIT TOUJOURS EN RAYON
Les médecins du Samu, après avoir rassuré Julien, lui ont simplement conseillé de surveiller tout signe anormal avant de se rendre aux urgences. Heureusement pour lui, il n’a présenté aucun symptôme. « Je me demande comment ces asticots ont pu survivre dans une conserve scellée. Peut-être y a-t-il eu une fuite d’air à un moment donné. », s’est-il interrogé. Trois jours plus tard, La Dépêche du Midi s’est rendue sur place, et à la surprise générale, le produit était toujours en rayon.
UN CAS ISOLÉ SELON L’ENSEIGNE
Interpellée, la direction du supermarché a confirmé avoir alerté ses équipes de contrôle qualité. « Des vérifications sont en cours depuis mardi pour déterminer s’il s’agit d’un cas isolé ou d’un problème plus large. », a expliqué un porte-parole d’Aldi. Le produit n’a cependant pas été retiré des rayons, car, selon l’enseigne, « tant que nous n’avons pas la certitude d’une contamination généralisée, retirer la marchandise de nos 1.300 magasins serait prématuré ».
DES CREVETTES CONTAMINÉES
En juin dernier, Aldi a lancé un rappel massif de crevettes surgelées de la marque Golden Seafood, commercialisées entre le 18 mars et le 5 juin. Ces produits ont été contaminés par la bactérie Vibrio vulnificus, plus connue sous le nom de « mangeuse de chair ». La chaîne de distribution a invité ses clients à détruire immédiatement les crevettes concernées ou à les rapporter en magasin, comme l’indiquait le site Rappel Conso.
LA BACTÉRIE VIBRIO VULNIFICUS
Cette bactérie dangereuse, capable d’infecter des plaies lors de la manipulation des produits, peut aussi entraîner de graves troubles gastro-intestinaux chez les personnes en bonne santé et, dans les cas les plus sévères, provoquer une septicémie chez les individus plus vulnérables. Les barquettes de 400 grammes concernées par ce rappel ont été vendues dans plusieurs régions, notamment en Auvergne-Rhône-Alpes, Île-de-France, Normandie et Nouvelle-Aquitaine.
Un Toulousain a découvert des asticots vivants dans une salade achetée chez Aldi, suscitant des inquiétudes sur la sécurité alimentaire.