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La France face à l’escalade en Ukraine : Emmanuel Macron n’exclut pas l’envoi de troupes au sol

Le président français a réaffirmé sa position stratégique concernant un possible déploiement militaire en Ukraine, créant une onde de choc diplomatique parmi les alliés occidentaux. Dans un entretien exclusif accordé au prestigieux magazine britannique The Economist, Emmanuel Macron développe sa vision géopolitique face à l’intensification du conflit russo-ukrainien et la potentielle avancée des forces russes.

Une stratégie de “non-exclusion” face à l’agression russe

“Si les Russes devaient aller percer les lignes de front, s’il y avait une demande ukrainienne – ce qui n’est pas le cas aujourd’hui –, on devrait légitimement se poser la question”, a déclaré le chef de l’État français lors de cet entretien approfondi. Cette déclaration s’inscrit dans une logique de ce qu’il appelle “l’ambiguïté stratégique”, considérée comme nécessaire face à un adversaire qui, selon lui, “n’exclut rien”.

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Le président français justifie cette position en soulignant que “l’écarter a priori, c’est ne pas tirer les enseignements des deux dernières années”. Il fait référence à l’évolution significative des positions occidentales concernant l’assistance militaire à l’Ukraine depuis le début du conflit armé. En effet, les nations de l’Alliance atlantique ont progressivement augmenté leur niveau d’engagement, passant de réticences initiales à l’envoi d’équipements lourds comme des chars de combat avancés et des aéronefs militaires à une acceptation de ces transferts d’armements.

Une position controversée au sein de l’OTAN

La position audacieuse d’Emmanuel Macron contraste avec celle de nombreux partenaires internationaux. Le 26 février dernier, ses déclarations sur la possibilité d’un déploiement terrestre avaient suscité des réactions diplomatiques intenses parmi les membres de l’OTAN. “Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer, de manière officielle, assumée et endossée, des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu”, avait-il alors affirmé lors d’une conférence internationale sur la sécurité européenne.

Cette approche marque une rupture dans la communication stratégique occidentale. “Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre”, avait précisé le président français, avant d’ajouter ultérieurement qu’il n’existait “aucune limite” ni “aucune ligne rouge” au soutien français envers Kiev.

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