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David Hallyday : confidences et anecdotes dans son autobiographie
David Hallyday, le chanteur de 57 ans, est de retour sur le devant de la scène. Après avoir marqué les esprits avec son single Requiem pour un fou, un hommage poignant à son père Johnny Hallyday, il annonce une série de concerts pour 2024. En attendant, il publie une autobiographie intitulée Meilleur album, parue jeudi 23 novembre aux éditions Le Cherche Midi. Dans cet ouvrage, David se livre sans filtre, évoquant son enfance, ses relations avec ses parents Sylvie Vartan et Johnny Hallyday, les conflits familiaux, mais aussi des anecdotes surprenantes, dont une impliquant une ex-Première dame.
Une plongée intime dans la vie de David Hallyday
Meilleur album n’est pas seulement un récit de vie, c’est un voyage à travers les souvenirs, les joies et les peines de David Hallyday. Le chanteur y aborde des sujets personnels, parfois douloureux, comme la disparition de son père Johnny Hallyday en 2017. Il revient également sur les liens complexes qui unissaient sa famille, notamment avec sa demi-sœur Laura Smet.
« Dans la douleur, Laura et moi nous sommes beaucoup rapprochés », confie-t-il. « Comme si nous voulions partager notre peine de manière équitable. » Ces mots témoignent de la profonde complicité qui lie les deux demi-frères et sœurs, malgré les tensions passées. David évoque aussi le rôle qu’il a joué auprès de Laura après la mort de leur père, un moment qui a renforcé leur relation.
Une enfance entre deux continents
L’autobiographie de David Hallyday nous plonge également dans son enfance, marquée par des allers-retours entre la France et les États-Unis. En 1978, alors qu’il vivait à Los Angeles, sa mère Sylvie Vartan a signé une tournée de vingt-quatre mois en Europe. David, alors âgé de 12 ans, a dû quitter ses amis et son quotidien américain pour s’installer en France.
« La mort dans l’âme », il a quitté Los Angeles, une ville où il s’épanouissait pleinement, pour rejoindre l’Hexagone. Cette transition n’a pas été facile, mais David a fini par se réhabituer à la vie en France. Il a intégré l’École internationale bilingue, située dans le XVIIe arrondissement de Paris, où il a retrouvé un certain équilibre.
